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Bondage et Contraintes

Dormir en étant ligoté, sachez que cela ne se fait pas sans prendre quelques précautions. Cette pratique semble pourtant anodine parce que justement vous dormez et donc vous n'en n'êtes parfois pas conscient.

 

Ne choisissez pas une position trop inconfortable. Il faut plutôt être couché de la tête au pied. Si le soumis est couché(e) sur le dos, n'attachez pas les coudes derrière le dos. Ils ne les sentiront plus après 10 minutes et des séquelles irréversibles peuvent apparaître au niveau des sensations des bras. Attachez plutôt chaque poignet à l'avant bras de l'autre main de telle manière que lorsqu'on est couché sur le dos, les mains soient dans le creux du dos. Ne pas oublier d'assouplir le dos en en se courbant quelques fois en arrière. Si on est couché sur le ventre, ajustez bien la tête avec des coussins pour éviter les torticolis. Pendant le sommeil, l'activité générale du corps est au ralenti. La circulation sanguine et les messages nerveux risquent d'être freinés si vous serrez les liens beaucoup trop forts. Les pieds peuvent gonfler à un point tel qu'on ne les sente plus. S'en suivent les picotements iques. Ne vous levez donc pas de suite, laisser reposer et profitez de la sensation de relâchement du bondage.

 

Si toutefois vous dormez comme un saucisson pendant huit heures, il y a de forte chance qu'au réveil vos premier pas soient très difficiles. C'est peut être drôle mais là aussi il y a un risque de séquelle au niveau de la circulation. Des douleurs régulières peuvent apparaître au niveau du bassin et des cuisses.

 

En règle générale, il faut dormir attaché en étant couché sur le dos, les liens pas trop serrés, les mains attaché à la ceinture ou bien en V. En aucun cas les pieds ne doivent être surélevés par rapport au corps.

 

On peut aussi dormir en étant attaché sur une chaise. Quelques précautions s'imposent. Si la position parait « confortable », c'est en s'endormant que la nuque vas souffrir. La tête tombe vers l'avant, les muscles de la nuque (dont le trapèze) s'étirent. La tête tombe vers l'arrière, la nuque est compressée. Bonjour les torticolis et même les vertiges

 

Bonne nuit

 

 

La croix a une signification très forte dans le BDSM.

En effet, elle symbolise l'esclave que l'on attache, que l'on supplicie, que l'on utilise à volonté.

 

Dans les pratiques SM, on utilise ce que l'on appelle la croix de St André, qui permet d'écarteler Son soumis jambes et bras écartés, pour qu'il soit complètement à disposition. Elle a la forme d'un X. Elle permet ainsi la flagellation, le travail des seins, mais aussi l'excitation sexuelle.

 

Est que l'origine du nom St André vient de cette église anglaise où l'on retrouve dans les vitraux un motif représentant une croix faite d'une lance et d'une canne ? Je ne sais pas, mais l'idée est plaisante !

 

La croix de St André est un des premiers équipements dont sont pourvus club SM et donjons. Elles sont généralement en bois (très Inquisition !) et comportent aux extrémités des anneaux qui permettent de passer les liens.

 

Sinon, la crucifixion peut bien entendu avoir lieu sur des crois en T, en Y, ou des potences.

 

 

La méthode de bondage la plus complète est sans doute d'envelopper quelqu'un de telle manière qu'il ne puisse plus du tout bouger. La façon la plus connue de momifier quelqu'un est d'utiliser un film plastique. La technique la plus commune est d'envelopper chaque membre séparément, puis d'envelopper les bras au tronc, et ensuite d'envelopper les jambes ensemble - puis d'aider le dominé à s'étendre sur une surface proche et douce. Vous pouvez alors pratiquer des incisions (avec précaution !) pour accéder aux parties sensibles, ou appliquer de la bande adhésive par-dessus le tout pour plus de sécurité, ou utiliser des bâillons, des bandeaux, etc. Un des processus naturels par lequel le corps élimine la chaleur produite étant la transpiration, et la momification empêchant la transpiration dans une certaine mesure, soyez attentif à ce que le dominé ne souffre pas trop de la chaleur, et préparez une couverture pour l'en couvrir lorsque vous le libérerez de son cocon en utilisant les ciseaux médicaux (disponibles dans les magasins de matériel médical - une lame plate facilitant le découpage) que vous avez bien sûr sous la main. Et comme toujours, surveillez très attentivement le dominé, il est impuissant et votre négligence ou votre inattention peuvent mener à un désastre.

 

 

Nous ne vous ferons pas l'injure de vous apprendre que le terme bondage est le mot anglais pour "ligotage".

 

Souvenirs et fantasmes

 

Rappelez-vous, quand vous étiez enfant... Quand vous jouiez aux cow-boys et aux indiens, et que vous étiez capturé(e) par le camp ennemi pour être "ligoté(e) au poteau de torture", n'étiez-vous pas traversé(e) par un frisson de plaisir que vous n'auriez avoué pour rien au monde ? Et maintenant, est-ce qu'il ne vous arrive pas d'avoir envie de murmurer à l'oreille de votre amant(e) : "J'ai envie que tu m'attaches." A moins que ce ne soit : "Tu veux bien que je t'attache ?" Vous n'osez pas ? Et s'il (elle) n'attendait que ça ? Si vous ne lui posez pas la question, vous ne le saurez peut-être jamais...

 

Ces liens qui nous libèrent

 

Peut-être vous demandez-vous simplement comment quiconque peut éprouver du plaisir à être ligoté. Contrairement à une croyance répandue (surtout parmi ceux qui ne pratiquent pas le ligotage ?), vouloir être ligoté n'est pas nécessairement le fait d'êtres soumis, effacés, ou aimant souffrir. Certains psychologues assurent même que des individus dominateurs et sur qui pèsent toutes sortes de responsabilités n'aiment rien tant que d'être étroitement ligotés, et de n'avoir enfin aucune décision à prendre, étant entièrement soumis au bon vouloir de l'autre. D'autres vont même jusqu'à y voir une forme de thérapie : après le bruit et l'agitation du monde, subir une immobilité et un silence forcés peut être une porte ouverte sur une forme de méditation,. On se laisser aller plus facilement quand on est attaché. Telle personne qui n'ose pas gémir et crier sans retenue quand le plaisir arrive, ou s'allonger confortablement et se laisser complaisamment lécher et sucer par son partenaire, pourra le faire plus facilement une fois ligotée...

 

 

Passage à l'acte

 

Alors, supposons qu'à votre question, l'autre a répondu (avec un petit sourire) "Oui, pourquoi pas ?"... Votre coeur fait des bonds dans votre poitrine. Peut-être même que vos mains tremblent un peu : ça y est, vous êtes en train de réaliser un sacré fantasme ! La première fois, vous avez sans doute utilisé ce qui vous tombait sous la main : les ceintures de vos peignoirs éponges, les vieilles cravates de Monsieur, un reste de câble électrique (souple, de préférence)... Et pour les noeuds, vous avez improvisé... Par la suite, vous avez certainement cherché à vous "documenter", et peut-être qu'au cours de vos surfs sur le Net, vous êtes tombé(e) -certainement pas par hasard- sur des photos de Japonaises étroitement ligotées ( shibari).

 

 

 

Cordages

 

Le ligotage n'utilise pas n'importe quelle corde. Les puristes préfèrent le chanvre ou le jute, mais au supermarché du coin, vous trouverez plus facilement des cordes en nylon ou en polypropylène. Un conseil : voyez grand d'entrée de jeu. Un rouleau de 10 mètres de corde est très insuffisant. Prenez au moins 30 ou 40 mètres pour commencer. Vous verrez : vous utiliserez tout. Et vous irez acheter un second rouleau. Voire plus si affinités. Côté diamètre : un gros diamètre (6 à 10 millimètres), est préférable. Une corde trop fine aura tendance à "scier" la peau, et les noeuds seront plus difficiles à défaire. Et ils seront moins jolis sur les photos (ne nous dites pas que vous n'allez pas faire de photos, nous ne vous croirons pas).

 

Précautions

 

Le ligotage est un jeu amusant et agréable (même, et peut-être surtout, pour celui ou celle qui le "subit") mais, comme n'importe quel autre jeu, il nécessite quelques précautions élémentaires pour ne pas devenir un jeu dangereux.

Ayez toujours une grosse paire de ciseaux à portée de main. Vous pouvez avoir à détacher votre "soumis" très rapidement en cas d'urgence, et s'il y a tout plein de noeuds à défaire, vous êtes mal partis, voire pas partis du tout. Alors, ayez cette paire de ciseaux dans la pièce (non, pas dans la pièce "juste à côté"). Et vérifiez avant qu'elle est capable de couper votre chère corde. Ne passez jamais un lien serré devant le cou. Derrière la nuque, pas de problème. Mais devant : jamais. Vous êtes prévenus : ne jouez pas au pendu. Surveillez les extrémités (mains, pieds) de votre cobaye. Si elles deviennent blanches, puis bleues, c'est que vous avez trop serré les cordes, et que vous empêchez la circulation du sang de se faire normalement. C'est dangereux : vous pouvez créer des lésions irréversibles. Défaites immédiatement les liens, et frictionnez les membres concernés pour faire circuler le sang. De même, si votre soumis se plaint de picotements ou d'engourdissement dans les membres, c'est que là encore vous avez trop serré. Si vous l'avez bâillonné(e) -ce qui peut faire partie du jeu- vous aurez convenu d'un signal sans équivoque pour qu'il ou elle vous signale ce type de problème. Vous pouvez lui glisser une bille au creux de la main, si elle (il) la laisse tomber, cela voudra dire qu'elle (il) a quelque chose d'important à vous dire...

 

Ambiance

 

Celui (celle) que l'autre ligote est en général nu(e), bien que ce ne soit pas une obligation. Mieux vaut donc éviter qu'il ne règne dans la pièce une température polaire : pensez à régler le chauffage à votre convenance.Question importante: music or not music?

 

Accessoires

 

Votre soumis(e) est prêt(e) à se laisser ligoter. Vous avez les cordes. Vous avez le local (votre chambre, ou toute autre pièce de la maison - si votre cave est sèche, bien chauffée, et pas trop encombrée, vous pouvez même l'aménager en "donjon"...) Il ne vous manque donc plus rien !

 

Et pourquoi pas quelques accessoires ? Par exemple : Une chaise. Surtout si elle se prête bien aux ligotages avec ses nombreux barreaux... Mais même une chaise toute simple est riche de possibilités.

 

Parmi les nombreuses raisons de se laisser ligoter, les sensations procurées sont parmi les plus importantes. Pour permettre au soumis d'apprécier pleinement ces sensations, il peut être utile de la priver de certains de ses sens, comme la vue et l'ouïe. Pour la vue, il est possible d'improviser un bandeau avec un simple foulard, ou d'utiliser un masque opaque.

 

Et pour augmenter l'impression d'impuissance, vous pouvez lui mettre un bâillon, par exemple un "baillon-boule" qui comporte une boule de quelques centimètres de diamètre à placer entre les lèvres, et d'une lanière à attacher derrière la tête.

 

 

Et ensuite...

 

La seule limite aux figures possibles est dictée par trois facteurs: votre imagination, la quantité de corde dont vous disposez, et bien entendu les considérations de sécurité.

 

Pour finir

 

Tout ceci peut sembler un peu compliqué et très théorique... mais il faut avoir contemplé l'être aimé étroitement ligoté, tel un diamant serti dans sa monture, pour comprendre l'aspect esthétique du ligotage. Et il faut avoir ressenti soi-même la caresse rugueuse de la corde sur sa peau, et la pression omniprésente sur son propre corps, pour comprendre le plaisir que l'on peut prendre à être ligoté.

 

Amusez-vous bien

 

 

(Littéralement: « Liens pour les bras ») sont des entraves en cuir, qui lient les deux bras dans le dos. La plupart ressemblent à des gants hauts qui montent jusqu'en haut des bras et qu'on boucle autour des épaules. D'autres sont des sangles qui descendent jusqu'au milieu du dos et ont des liens pour les poignets intégrés. Il existe de nombreux appareils de bondage, et vous pouvez même inventer les vôtres...

 

 

(Littéralement: sacs pour le corps): si vous aimez être ligoté, c'est le type de bondage le plus extrême qui entoure tout le corps, et empêche tout mouvement. Les « bodybags » de bondage (aussi appelés « sleepsacks »: littéralement « sac de couchage ») ressemblent à un sac de couchage douillet et confortable, souvent en cuir ou en spandex. Les « bodybags » en spandex sont les moins chers, et si la qualité de spandex utilisé est bonne, ils sont suffisamment restrictifs. Souvent les « bodybags » ont une ouverture dans le haut, par laquelle vous pouvez glisser vos pieds, et remonter le sac jusqu'à votre cou. Beaucoup d'autres modèles ont des orifices pour les parties génitales ou les tétons, de telle manière que l'on puisse donner du plaisir au dominé ou le torturer alors qu'il est immobile. D'une manière arbitraire, les « bodybags » en cuir peuvent être assez élaborés (et chers); quelques-uns ont des manches intégrées à l'intérieur pour réduire encore les possibilités de mouvement, ou des sangles de suspension qui permettent de suspendre le dominé qui a enfilé le sac. Parfois, certains modèles ont des lacets à l'extérieur de telle manière que le sac puisse être sanglé et carrément causer de la douleur. Si vous avez VRAIMENT de l'argent à dépenser, vous pouvez vous procurer des « bodybags » en caoutchouc gonflables - enfilez-le, gonflez-le et envolez-vous ! Les avertissements à propos de la respiration et de la libération en urgence sont ici encore d'application.

 

 

 

L'art et la manière

 

 

 

La suspension fait partie de l'univers du bondage mais trouve des adeptes spécialisés. Il est vrai que les sensations que ressent le soumis sont particulièrement fortes.

 

 

 

Il existe différentes formes de suspension:

 

 

 

La suspension par les bras

 

La plus ique, qui peut se faire simplement, mais en utilisant des attaches adaptées pour les poignets. Ceci évite de couper la circulation et même de blesser la peau des mains. Le soumis est ainsi totalement livrée et peut, par exemple, être fouettée à la fois de face et de derrière.

 

 

La suspension par les pieds

 

Qui doit utiliser des jambières adaptées, pour protéger, en particulier la talon d'achille. La perte de contrôle est renforcée par la position la tête en bas, qui devient rapidement pénible, le sang s'accumulant. Cette suspension à l'avantage de laisser le sexe et le cul bien disponibles pour tous usages.

 

 

Les suspensions conjointes

 

Par les pieds et par les mains, rappelant alors la capture des animaux sauvages, le soumis étant véritablement traitée en objet.

 

 

Les suspensions par les parties génitales

 

Ce sont quasi exclusivement des suspensions partielles, en effet les testicules ou les seins sont très fragiles et les suspensions totales à prohiber. La suspension partielle par les seins procure de sensations très particulières chez la femme, au delà de la douleur, un étourdissement et une sensation de flotter uniques.

 

(Dans la photo ci-jointe, le poids du corps est surtout supporté par la corde faisant le tour du dos).

 

Les suspensions sont rapidement pénibles et ne dépassent guères quelques minutes. Les marques laissées sont durables. Tout comme les sensations.

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