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Les differents comportements

 

A sa naissance, l'être humain dispose de quatre émotions naturelles de base :

 

la joie, la colère, la peur et la tristesse

 

Ces quatre émotions ont chacune leur utilité :

 

 

La joie

 

Sert de moteur à l'envie de vivre et de progresser. Elle est source de motivation et de santé.

(La médecine découvre actuellement à quel point le moral joue un rôle important dans le pouvoir de guérison.)

 

La colère

 

Sert à chasser l'intrus, à trouver et à mettre ses limites, bref à défendre son territoire et ses valeurs

 

La peur

 

Signale un danger qui nécessite la mise en place d'une protection ou une nouveauté qui demande plus d'information et de préparation

 

La tristesse

 

Permet de clore une période de vie et de "tourner la page". Elle est adéquate à chaque fois que nous avons un "deuil" à faire, que ce soit d'une situation ou d'une personne

 

Pour gérer ses émotions

 

Pour gérer ses émotions, il faut d'abord se redonner le droit de ressentir la joie, la tristesse, la colère et la peur sans honte ni culpabilité puis apprendre à écouter le message que l'émotion nous transmet.

 

De quoi ai-je peur ?

Comment me protéger ?

 

Qu'est-ce qui a provoqué cette tristesse que je ressens depuis ce matin ?

 

De quoi ou de qui ai-je un deuil à faire ?

 

Ce grondement sourd de colère dans mes veines, quelle intrusion sur mon territoire me signale-t-il ?

 

Où était la limite qui vient d'être dépassée ?

 

Comment la remettre en place ?

 

Et cette joie simple d'entendre les oiseaux chanter, de voir le soleil briller, pourquoi ne pas la savourer à pleins poumons ?

 

 

 

La question du fantasme est importante dans la sexualité, mais il importe d'abord de bien définir ce qu'est un fantasme.

 

 

 

Il s'agit d'une représentation de l'imaginaire qui déclenche une émotion sexuelle, le désir ou le plaisir. Autrement dit, le fantasme existe dans l'imaginaire, il est en général conscient, et il permet par son évocation de se faire plaisir, comme des rêveries érotiques, et il permet également d'encourager son désir, de l'appeler et de l'amplifier.

 

Il est important de faire la différence dans les fantasmes entre ceux qu'on apprécie pour leur force dans l'imaginaire et ceux auxquels on pense en souhaitant les réaliser : tous les fantasmes ne sont pas le reflet d'un désir de réalisation érotique.

 

Bien sur, un fantasme peut être plus fort si on imagine le réaliser, mais ce n'est pas un cas général.

 

Souvent les fantasmes sont des scènes idéales dont la réalisation conduit à la déception : la réalité ne pouvant être à la hauteur de l'idéal fantasmé.

 

Le fantasme permet d'impliquer le cerveau dans la sexualité.

 

Il est le moyen essentiel pour stimuler cette zone érogène et pour lier le moment sexuel vécu à l'histoire de la personne, à des désirs, ses réussites et ses frustrations.

Tout le monde a des fantasmes, cependant pour certaines personnes ils sont retranchés si loin dans leur esprit qu'ils ne sont pas accessibles, généralement parce que ces personnes s'auto censurent.

 

Certaines personnes éprouvent de la gêne, parfois de la honte car elle peuvent juger leurs fantasmes pervers, ou encore de la culpabilité surtout si les fantasmes font intervenir d'autres personnages que le ou la partenaire habituel.

 

A quoi servent les fantasmes ?

 

Le fantasme est nécessaire à une sexualité épanouie, il fait participer le cerveau et imaginaire à la sexualité, il enrichit la sexualité.

 

Il accroît le désir, il canalise l'agressivité, il renforce la confiance en soi, il est la première marche de la créativité dans la sexualité.

 

De plus, il convient de distinguer à quel moment les personnes évoquent leurs fantasmes : dans des situations variées (situation plus fréquente chez les hommes), avant une rencontre sexuelle, durant les préliminaires, lors de la phase pré orgasmique (situation plus fréquente chez les femmes), ou au moment de l'orgasme.

Souvent les personnes s'interrogent sur ce qu'elles doivent faire de leurs fantasmes, doivent-elles en parler ? Faut il les réaliser ?

 

 

 

Doit-on parler de ses fantasmes ?

 

Tout d'abord, on peut remarquer que la sexualité du couple est la convergence des sexualités de chaque personne qui le compose, ce qui signifie que les comportements sexuels sont ceux qui sont communs aux deux personnes.

 

Or le fantasme contient parfois des éléments moins habituels, c'est ce qui peut en faire l'attrait. Raconter ses fantasmes peut conduire l'autre à être gêné par ce qui est dit, et même parfois à régir en jugeant ce qui est confié.

 

Or il est normal que les fantasmes expriment des contradictions avec les valeurs morales de la personne, c'est justement son rôle d'exprimer ces contradictions et de produire du plaisir à imaginer ces transgressions.

 

De plus, le pouvoir érotique du fantasme se dilue souvent dans le partage et il est très rare que l'évocation d'un fantasme dans le couple accroisse le désir.

 

 

Faut-il les réaliser ?

 

La réalisation d'un fantasme peut être un exercice difficile ; elle implique un travail parfois important (situation, accessoires, scénario) qui représente un équilibre parfois fragile.

 

La réussite d'un tel travail implique une grande fierté pour la personne. Si on distingue clairement le fantasme qu'on souhaite réaliser de celui qu'on évoque sans volonté de l'accomplir un jour, on peut tenter de mettre en scène son fantasme, et avoir la fierté de l'avoir consommé.

 

Son pouvoir évocateur futur pourra soit être réduit, car devenu banal, soit être rechargé par les souvenirs de la réalisation.

 

 

 

Le fait de vivre une sexualité différente est mis en avant et fait éclater les catégories habituelles. Au-delà de la Domination et de la soumission, le discours des adeptes évoque des motivations diversifiées.

 

 

 

Pratiquer le sado-masochisme :

 

C'est avoir une sexualité ludique, qui offre la possibilité d'un autre rapport au corps, une autre manière de jouer avec son corps ou avec celui de l'autre. Les femmes soumises mentionnent fréquemment cette raison.

 

La sensualité est différente dans le sado-masochisme : « Être soumise, c'est être dominée. Mais je dois dire que jamais un amant ne s'est aussi bien occupé de moi, de mes désirs, qu'un maître » (Sabine).

 

Sans parler d'échangisme, c'est avoir la possibilité de « multiplier » les partenaires (homme ou femme). Lors de soirées publiques ou privées, par exemple, un(e) dominateur (trice) peut prêter son (sa) soumis(e). L'intervention d'une tierce personne satisfait divers fantasmes : de bisexualité ou de triolisme.

 

C'est parfois aussi s'exhiber et se donner en spectacle : « Monsieur commença à me fouetter doucement, raconte par exemple (x) et me donna quelques bonnes fessées et continua la punition. J'étais épuisée, mais ravie de cette exhibition devant les participants à cette soirée.

 

C'est vivre des sensations fortes, se mettre en danger, et dépasser des tabous : « Car, en vérité, si j'ai le goût de l'aventure, si je recherche l'inattendu, j'aime avant tout me faire peur. Ceci explique sans doute cela. Le jeu des situations insolites m'excite et me séduit. Le danger ou ce que j'en imagine me grise, me met en transe et me plonge dans un état second où tout mon être se sent autoriser à se dédoubler, oubliant ainsi toutes les contraintes dressées par une éducation trop sévère. C'est moi sans être moi, je pense sincèrement que cette sorte de schizophrénie me permet de libérer certaines pulsions refoulées. Le double jeu déculpabilise » (Duriès, 1993, p. 13).

 

C'est avoir l'opportunité de laisser libre court à ses désirs, comme le travestissement : « je ne suis pas du tout homosexuel, mais j'adore me travestir en femme. Je ne sais pas pourquoi, mais ça m'excite terriblement » (Gautier).

 

C'est remettre enfin en cause la Domination et la soumission et jouer avec les catégories de sexe.

 

 

 

Extrait de "Sexe et Pouvoir".

 

 

 

 

Existe t-il quelqu'un qui puisse affirmer ne s'être jamais fait manipuler ?

 

Le but reste le même :

 

Satisfaire leurs priorités à vos dépends.

 

La technique est simple.

 

Vous les reconnaîtrez aisément dans les profils suivants mais les très bons manipulatrices sauront jouer ces quatre rôles tour à tour :

 

La victime

 

Elle cherche à vous culpabiliser d'être bien quand elle est si mal. Elle insinue que vous avez de la chance (et pas elle) niant les moyens que vous vous êtes donnés pour avoir ce que vous avez.

 

Elle cherche à vous inspirer de la pitié pour que vous la preniez en charge. Ou bien, elle vous rend responsable de sa souffrance comme de son éventuel futur bonheur.

 

Le bourreau

 

Sa principale technique est l'intimidation.

 

La menace est souvent indirecte. (Exemple : "Ne me déçois pas !").

 

Il laisse entendre qu'elle pourrait devenir méchante ou violente envers vous (ou envers lui même) et le devient effectivement quelques fois si vous ne cédez pas.

 

Mais surtout, elle utilise la pression de l'urgence en dramatisant les situations et en vous fait endosser toutes les responsabilités.

 

Tout dépend de vous.

 

La sauveuse

 

elle affirme que, sans elle, vous ne pourrez pas aller bien loin.

 

elle vous dévalorise et se place en solution à vos problèmes.

 

elle vous rappelle que vous avez une énorme dette à son égard. (" Avec tout ce que j'ai fait pour toi ! ")

 

La séductrice

 

elle vous flatte : "Tu es la seule personne qui me comprenne." ou "Toi qui connaît si bien le dossier Dupont S.A...". Il vous fait croire que vous aurez beaucoup à gagner à vous occuper de lui.

 

 

La sensation de s'être fait manipuler est une sensation terriblement désagréable.

A la culpabilité de s'être fait avoir vient s'ajouter la confusion de ne pas savoir comment cela nous est arrivé et la peur que cela nous arrive à nouveau.

 

Et ainsi, tous les ingrédients se mettent en place pour être encore plus manipulables la prochaine fois.

 

Les clés de la manipulation un cocktail détonnant.

 

Doute, Peur, Culpabilité.

 

Conclusion

 

Méfiez vous de certain « pseudo Domi ou.... soumis» qui pourrait avoir une prise directe sur votre affectif.

 

 

 

Avez-vous du mal à déterminer quand la scène commence et quand elle se termine ? Le viol ou les actes sexuels sous la contrainte ne font pas partie du SM consensuel. La maltraitance n'est pas quelque chose qui puisse donner lieu à un "accord"; il ne peut y avoir ni safeword, ni compréhension. Il ou elle a-t-il (elle) déjà violé vos limites ? Vous sentez-vous prisonnier d'un rôle spécifique, que ce soit dominant ou dominé ? Votre partenaire critique-t-il sans cesse vos performances, se sert-il du sexe comme moyen de contrôle, ou vous ridiculise-t-il pour les limites que vous fixez ? Vous sentez-vous obligé(e) d'avoir des relations sexuelles ? Votre partenaire se sert-il (elle) des rapports sexuels pour arranger les choses après une dispute ? Votre partenaire vous isole-t-il (elle) de vos amis, de votre famille, des groupes que vous fréquentez ? Votre partenaire a-t-il (elle) déjà causé des dommages matériels ou menacé des animaux domestiques ? Votre partenaire a-t-il (elle) maltraité ou menacé vos enfants ?

 

Votre partenaire limite-t-il (elle) votre accès au travail ou aux moyens de subsistance ? Vous a-t-il (elle) déjà volé ou fait des dettes ?

 

Votre partenaire et vous êtes vous émotionnellement dépendants l'un de l'autre ?

 

Votre relation se partage-t-elle entre une grande distance émotionnelle suivie par des passages de grande proximité affective ? Votre partenaire vous critique-t-il (elle) sans cesse, vous humilie-t-il (elle), sape-t-il (elle) habituellement votre amour-propre ? Votre partenaire utilise-t-il (elle) les scènes pour masquer la colère ou la frustration ? Estimez-vous ne pas pouvoir parler avec votre partenaire de ce qui vous ennuie ?

 

Personne n'a le droit de vous maltraiter. Vous n'êtes pas responsable de la violence que vous subissez. Vous n'êtes pas seul(e); prenez contact avec d'autres rescapés. Il y a des raisons pour lesquelles on demeure dans un schéma de maltraitance: la peur (ou les sentiments qu'on éprouve pour) son bourreau, et le manque de ressources économiques ou émotionnelles. Si vous décidez de rester, de l'aide est quand même à votre disposition. Vous pourrez trouver des refuges, des groupes de soutien, des avocats, des programmes anti-violence, et des lignes d'appels d'urgence dans votre région; demandez à un(e) ami(e) de vous aider à faire ces démarches. Prévoyez une stratégie si vous devez partir rapidement. Songez à vos amis et votre famille en cas d'urgence.

 

La maltraitance est un crime. Vous trouverez des informations sur vos droits civils et sur les solutions qui s'offrent à vous. Il vous est possible de recourir au tribunal afin d'ordonner qu'une personne cesse de vous maltraiter, par le biais d'un Ordre de Protection ou d'un Ordre de Cessation de Harcèlement. Vous n'avez pas nécessairement besoin d'un avocat pour le faire.

 

Nous pouvons réduire la violence conjugale: elle existe bel et bien dans la communauté SM. Nous voulons qu'il soit clair que nous écouterons ceux et celles qui auront le courage d'en parler. Nous comprendrons que quitter son (sa) partenaire est difficile. Nous laisserons les victimes faire leurs propres choix. Nous respecterons l'anonymat. Nous encouragerons ceux qui ont vécu ces abus à entreprendre des actions légales et à chercher de l'aide. Nous les aiderons à trouver un abri sûr et un conseil légal. Nous tiendrons les abuseurs pour responsables et nous les exhorterons à entamer une thérapie. Nous ne reconnaîtrons pas que les drogues ou l'alcool soient des excuses pouvant justifier la maltraitance. Nous encouragerons les changements dans le comportement de l'abuseur.

 

Il est crucial pour les groupes de notre communauté de réduire la violence conjugale. D'inviter des conférenciers bien documentés; de lancer des débats; d'éditer pour nos membres des listes d'organisations régionales et/ou de personnes non réfractaires aux pratiques SM. D'informer nos services locaux d'aide sociale et légale à propos de notre de vie; d'encourager leurs interventions adéquates.

 

 

 

Safeword (il n'existe pas de traduction française de ce mot)

 

Il s'agit d'une sorte de code entre Dominant et soumis.

 

Ce mot de code, ce "safeword" est un moyen de s'assurer que le jeu BDSM est bien consensuel. Un jeu BDSM se doit d'être consensuel, là réside la différence entre une scène érotique, excitante et un horrible et bien réel acte de viol.

 

Un des frissons provoqué par un jeu BDSM est bien sûr que les limites sont à chaque fois reculées, afin de découvrir de nouveaux niveaux de sensations. Ceci est bien évidemment excitant et désiré mais cela doit être aussi progressif. La Dominante comme le soumis souhaite aller plus loin mais ils ne sont pas télépathiques et il n'est pas toujours aisé de savoir quand le soumis en a vraiment assez.

 

Un " safeword" est donc un mot que le soumis peut utiliser pour faire cesser immédiatement une scène ou un jeu. Ce moyen peut devenir nécessaire pour plusieurs raisons. Disons par exemple que le soumis reçoit une bonne fessée et que subitement cela ne lui semble plus agréable. En utilisant le safeword , le soumis dit en fait "STOP" à sa Domie , il l'avertit que quelque chose ne va pas ,que la scène ne fonctionne plus pour lui . Peut-être a-t-il passé son seuil de tolérance, ou il a un problème avec ses liens ou simplement il est trop fatigué pour pleinement jouir de la scène. Un soumis peut très bien se trouver en présence d'une Dominante qu'il ne connaît pas bien et il est important de communiquer son désir d'arrêter, spécialement si le soumis est attaché et réduit à l'impuissance.

 

Quand un "safeword" est prononcé, il doit toujours être pris au sérieux et le jeu doit être immédiatement arrêté. Si la Dominante ne respecte pas ce "safeword», il y a fort à parier qu' Elle ne respectera pas non plus d'autres limites et le soumis doit décider s'il souhaite vraiment continuer à jouer avec quelqu'un qui ne reconnaît pas les limites.

 

 

Mais pourquoi donc utiliser un mot de code ? Facile !

 

Fréquemment, dans le jeu, le soumis est amené à supplier, à demander grâce, et donc "non" ne signifie pas vraiment "non". Un mot de code permet aussi à la Dominante de savoir qu'elle ne pousse pas le soumis plus loin qu'il ne puisse le supporter.

 

Ceci étant dit, il est toujours de la responsabilité de la Dominante de garantir un jeu sûr et celui-ci ne peut se retrancher derrière l'excuse " mais tu n'avais qu'à utiliser ton mot de code ". Un soumis sous l'effet de la douleur ou emporté par l'extase peut ne pas avoir la présence d'esprit ou ne plus être capable d'utiliser son "safeword». Donc c'est à la Dominante, qu'il appartient de contrôler la situation et d'être vigilante à ce qui se passe à chaque instant.

 

Dans une situation où le soumis ne peut parler parce qu'il est bâillonné, il peut utiliser un geste à la place. Ceci peut être aussi simple qu'un clignement des yeux ou quelques billes voire un mouchoir tenu dans la main et qui quand il tombe signifie que le mot de code a été donné.

 

 

Une variation utile du principe du mot de code pour tout arrêter est le mot de code pour ralentir (slowword) , un mot que le soumis prononce quand il ne veut pas véritablement arrêter le jeu mais quand il souhaite avertir la Dominante qu'il est sur le point de donner le "safeword".

 

Par exemple, le jeu est en train de devenir trop intense, toujours acceptable mais néanmoins proche du point d'intolérance. Ce mot pour ralentir peut signifier n'importe quoi depuis " je Vous en supplie ! Ne me frappez pas plus fort ! " Jusque "je ne supporterai pas cela plus longtemps".

 

Une variation moins fréquente du "safeword" est le "goword" ou un mot utilisé par le soumis pour dire :" j'aime vraiment ceci " et si ce mot est utilisé dans une scène s/m, cela veut dire que plus de douleur est souhaitée.

Le "safeword" le plus utilisé est "rouge», avec "jaune" comme "slowword" et "vert" comme "goword», mais n'importe quel mot choisi de commun accord peut convenir. Il faut toutefois s'assurer que le mot ne sonne pas comme un autre mot utilisé dans le jeu et qu'il soit évident. Par exemple "détresse" pourrait être confondue avec "Maîtresse" s'il n'est pas prononcé d'une manière claire et distincte.

Il est parfois difficile d'utiliser un mot de code. Il est important de réaliser que personne n'est parfait. Cela peut parfois signifier qu'une limite a été rencontrée alors que la Dominante ignorait qu'il y en ait une à ce stade ou qu'Il était fatigué, déconnecté et donc qu'Il n'était plus en phase avec son soumis. Cela arrive à tout le monde de temps en temps. Si ,en tant que Dominant, Vous Vous sentez épuisé et que Vous souhaitez arrêter la scène, ou si Vous rencontrez une réaction vigoureuse à laquelle Vous ne Vous attendiez pas et que Vous n'êtes pas sûr de comment continuer , Vous pouvez aussi utiliser un mot de code. Un " safeword" n'est donc pas seulement réservé aux soumis . Si vous en tant que soumis ,vous avez l'impression que Votre Domie va trop loin et que vous ne souhaitez pas continuer, et qu'il n'y a plus de plaisir, c'est donc le bon moment pour utiliser ce "safeword», votre Dominante vous sera gré de l'avoir fait, de Lui avoir fait savoir ou vous en étiez.

 

Dans tous les cas de jeux S/M, existe une possibilité de devoir arrêter le jeu brutalement. Si vous convenez de cette possibilité à l'avance et si vous discutez des types de remèdes et de réconforts qui seraient appropriés, cela rendra toute récupération après un accident plus facile et plus agréable. Et ce n'est pas parce qu'une scène tourne mal qu'il faut croire que Vous ou Votre partenaire est fondamentalement mauvais ou déloyal.

 

Des erreurs peuvent arriver. Si votre partenaire ne veut pas entendre vos remarques à la suite d'une mésaventure, ou s'il minimise ou tourne en dérision vos inquiétudes, vous serez peut-être dans l'impossibilité d'éviter de futurs désagréments. Si votre relation ne s'enrichit pas lors de ces expériences malheureuses, c'est peut-être qu'elle n'est pas prête à vivre de nouvelles aventures S/M).

 

En conclusion

 

Tous les adeptes du BDSM n'utilisent pas ces mots de code. Certains ne les trouvent pas utiles pour le de jeux qu'ils préfèrent, pour eux une communication d'un type plus direct suffit. D'autres partenaires considèrent que leur besoin d'un mot de code diminue graduellement au fur et à mesure que la connaissance qu'ils ont l'un de l'autre s'accroît. Mais pour beaucoup de gens qui entreprennent leurs explorations (et aussi pour beaucoup qui ont déjà maintes fois exploré) ces mots de code se sont révélés très utiles.

 

*** Les mots de code sont par conséquent chaudement recommandés.

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